30.7.11

The Egg Game

In this physics based game you must get the egg into the basket quite simply by dragging around the various objects to bounce, twang, zip and push your egg into it.

Play it here.

29.7.11

One Egg a Day for Fair Nutrition

From an original drawing by Gareth Bath

Four major nutrition disorders are linked to reduce learning capacity and cognition:
- Protein-Energy Malnutrition (PEM)
- Essential fatty acids deficiency
- Iodine deficency
- Iron deficiency
Although ther are a complex set of relationships involved, it is clear that the problems of Protein-Energy Malnutrition (PEM) can to a large extent be reduced throught increased consumption of livestock products, especially eggs and milk, but of course alos meat.
Read more.

28.7.11

Hello ! Eggs ?

The Sublime Moment, 1938
Salvador Dalí
Oil on canvas
Staatsgalerie, Stuttgart, Germany


[...] In this precisely detailed, disquieting still life a damaged telephone receiver is suspended above a plate with two fried eggs in the midst of a barren coastal landscape reminiscent of the view from Dali’s house in Port Lligat. Everything is caught in a state of suspension, barely held up by thin supporting sticks or branches. The telephone receiver seems to exude a magical power - as if the rim of the plate were being sucked up towards it, only to melt into a large drop that touches the razor blade held in place below, which in turn seems ready to slice into the yolk of the egg on the right in the very next moment (perhaps an allusion to the forced partition of Czechoslovakia). [...]
Read more.

Le Moment Sublime (grand cendrier), 1974
Salvador Dali

The Sublime Moment (Large Ashtray), which shows a phone receiver propped on a cane, alludes to the political situation in Europe before World War II. Here.

26.7.11

À Nous d’Œufs



C’est l’histoire de deux destins contraires. Celui d’un œuf émancipé, la jeune Œuforie qui brûle de devenir Poulette pour mener à bien la carrière de chanteuse qu’elle s’est promise. Et celui d’O, œuf errant, en quête d’un nid accueillant et qui n’a pour ambition que de profiter de la chaleur d’un poulailler, refusant absolument d’éclore.


Les chemins d’Œuforie et d’O s’étant croisés, ils échangent leurs identités. Pour eux, commence alors une vie nouvelle qui devrait leur permettre de réaliser chacun leurs aspirations profondes, mais…

À Nous d’Œufs
Auteur et mise en scène: Stéphanie Tesson
Texte complet édité chez L'avant-scène théatre, n° 1237.

Sortir de sa coquille

Dans sa coquille une pouletteVoulait devenir un’ vedette.
Dans son œuf, un doux coquelet,
Satisfait du chaud poulailler,
Rêvait de rester en couveuse,
Et pour lui, une vie heureuse
Se vivait entre des parents
Qui voudraient le garder enfant.
Mais il faut que les œufs éclosent,
Pour que coule le cours des choses.
Que l'on soit coq, garçon ou fille,
Il faut sortir de sa coquille.
Il faut que les enfants grandissent,
Et qu’au printemps les prés verdissent.

Création en 2008 au Théâtre du Jardin au Jardin d'Acclimatation, Paris.
Le 5 mars 2010 au Théâtre du Golfe à La Ciotat.

24.7.11

An Egg For Independance

Decoration in Uzupis on the Day of Independence

In 2009 Lithuania celebrated the 1000 year anniversary for the mentioning of its name.

About Uzupis :
"[…] Not many cities in the world can boast with the fact that they surround an entire state. Rome can, and Vilnius can.
The Republic of Uzupis declared independence in 1997. It is an old city part of Vilnius which lies next to the river Vilna and is often described as the Montmartre of Vilnius, due to the many galleries and art shops present. The artistic site of Uzupis existed even before the end of Soviet rule, when the area was one of the most neglected and damaged areas of the city.
This small republic can boast of her own passport, president and currency. Furthermore, she has four national flags, one for each season, and her own army which according to rumours should exist of a bit more than 10 soldiers. The republic can also pride herself of the monument which stands on the main square. After months of excitement an angel holding a trumpet was unveiled on Independence Day in 2001. Prior to the angel the square held the statue of an egg, which can now be found on Pylimo Gatve in Lithuania. […]"
Text and photo by zofka - anna sofie andersen - Anna and Eastern Europe, Vilnius

The earlier sculpture of an egg before the Angel of Užupis
was erected in its place.
Photo by Elias Bizannes from Sydney, Australia

Poursuivons avec la Constitution de la République d'Uzupis, qui comprend 38 points :


1. L'Homme a le droit de vivre près de la petite rivière Vilnalé et la Vilnalé a le droit de couler près de l'Homme
2. L'Homme a le droit à l'eau chaude, au chauffage durant les mois d'hiver et à un toit de tuile
3. L'Homme a le droit de mourir, mais ce n'est pas un devoir
4. L'Homme a le droit de faire des erreurs
5. L'Homme a le droit d'être unique
6. L'Homme a le droit d'aimer
7. L'Homme a le droit de ne pas être aimé, mais pas nécessairement
8. L'Homme a le droit d'être ni remarquable ni célèbre
9. L'Homme a le droit de paresser ou de ne rien faire du tout
10. L'Homme a le droit d'aimer le chat et de le protéger
11. L'Homme a le droit de prendre soin du chien jusqu'à ce que la mort les sépare
12. Le chien a le droit d'être chien
13. Le chat a le droit de ne pas aimer son maitre mais doit le soutenir dans les moments difficiles
14. L'Homme a le droit, parfois de ne pas savoir qu'il a des devoirs
15. L'Homme a le droit de douter, mais ce n'est pas obligé
16. L'Homme a le droit d'être heureux
17. L'Homme a le droit d'être malheureux
18. L'Homme a le droit de se taire
19. L'Homme a le droit de croire
20. L'Homme n'a pas le droit d'être violent
21. L'Homme a le droit d'apprécier sa propre petitesse et sa grandeur
22. L'Homme n'a pas le droit d'avoir des vues sur l'éternité
23. L'Homme a le droit de comprendre
24. L'Homme a le droit de ne rien comprendre du tout
25. L'Homme a le droit d'être d'une nationalité différente
26. L'Homme a le droit de fêter ou de ne pas fêter son anniversaire
27. L'Homme devrait se souvenir de son nom
28. L'Homme peut partager ce qu'il possède
29. L'Homme ne peut pas partager ce qu'il ne possède pas
30. L'Homme a le droit d'avoir des frères, des sœurs et des parents
31. L'Homme peut être indépendant
32. L'Homme est responsable de sa Liberté
33. L'Homme a le droit de pleurer
34. L'Homme a le droit d'être incompris
35. L'Homme n'a pas le droit d'en rendre un autre coupable
36. L'Homme a le droit d'être un individu
37. L'Homme a le droit de n'avoir aucun droit
38. L'Homme a le droit de ne pas avoir peur

A méditer…

22.7.11

Egg Cat

Hand painted on an emu egg, this little calico kitten takes a nap in its cozy little basket.
Buy here.

21.7.11

Plante à Œuf

Une variété d'aubergine

Est-ce qu'ils sont cuits à la cueillette ?

Oui !!

19.7.11

Stories From the Other Side of the Bridge

"Egg"

On june 2009, Joshua Liner Gallery presented
" Stories From the Other Side of the Bridge ",
the suite of eighteen oil-on-canvas paintings by Mike Davis.

<< My paintings are often a reflection of my experiences in life. Additionally my interest in history makes its way into my work, even if it is on a minor scale. >>
Mike Davis

"The Eighth Road"
In "The Eighth Road", a boatload of peasant men sleepily contend with an assortment of symbolic challenges - a floating corpse, an enormous egg hatching a human hand, bird claw, and snake.

"In The Grand Scheme"

"The Other Side of the Bridge"
In "The Other Side of the Bridge", an egg hatches a leg and a cannon amid an oenophilic scene of wine casks, grape-bearing birdmen, ladybugs, and a burning zeppelin in the distance.

Mike Davis explaining his art on this video.

14.7.11

Un Œuf très Précieux

C'est pour avoir rempli les deux zirs de sa famille,
ces grandes amphores où l'on conserve l'eau,
qu'un enfant reçoit un œuf merveilleux.


Un jour qu'elle balayait sa maison, une paysanne trouva, dissimulé dans un coin sombre à l'abri des regards, un œuf. Elle le ramassa et le fit rouler délicatement entre ses doigts. C'était un œuf de poule, tout lisse et tout blanc.
Étrange ! La plupart des femmes du pays gardent des chèvres, comme elle.
Elle en a cinq dans la cour de la maison. Chaque jour, elle les emmène au bord du fleuve, où elles broutent paisiblement. Les chèvres, ça broute n'importe quoi ; elles trouveront à manger là où vous ne verrez que du sable et des cailloux. Tandis que les poules... Les poules, il faut leur donner du grain, donc il faut acheter du grain. C'est une autre histoire. Que faisait cet œuf de poule ici ? Enfin, qu'est ce que ça changerait de le savoir ? La paysanne est bien trop heureuse de l'avoir trouvé pour se préoccuper du reste. Au moment où elle s'apprête à le cacher habilement, son petit garçon passe et le voit . Il voit l'œuf tout lisse et tout blanc entre les doigts de sa mère et se met à le réclamer avec insistance.

- Oh, maman ! je t'en prie, donne-le-moi. Je ferai tout ce que tu veux. Donne-le-moi. J'irai faire brouter les chèvres à ta place, j'irai vendre leur lait au marché et je n'achèterai pas du bois de réglisse avec les sous. Donne-le-moi, donne-le-moi !

Rien à faire. La paysanne ne veut pas se séparer de l'œuf. Alors, le petit garçon a une idée pour faire plaisir à sa mère et lui adoucir le cœur. Il prend le bidon en fer-blanc, court jusqu'au fleuve le remplir d'eau fraîche, et revient courbé en deux avec son précieux chargement pour le verser dans les deux zirs en terre qui se trouvent dans la cour de la maison. Ensuite, il retourne au fleuve, remplit le bidon et revient verser l'eau dans les zirs. Vingt fois, il refait le chemin de la maison au fleuve et du fleuve à la maison. Les deux zirs, presque aussi hauts que lui, sont pleins à ras bord, et ruissellent d'eau bien froide. Et en effet, sa mère est si contente qu'elle consent à lui donner l'œuf.

Fier comme un nouveau fiancé, le petit garçon sort cette fois de sa maison, en sautillant de bonheur, avec son œuf dans la main. Il ne veut pas le manger tout de suite, mais le garder dans ses mains le plus longtemps possible. C'est alors qu'il croise sur son chemin un ferronnier, en train de fabriquer une de ces énormes aiguilles de fer avec un manche de bois, celles dont on se sert pour tresser l'osier des paniers. Le ferronnier aperçoit l'œuf dans la main de l'enfant :
- Donne-moi ton œuf, petit.

Te donner mon œuf ?
Jamais tu n'auras mon œuf,
Mon œuf tout lisse et tout blanc.
Pour l'avoir j'ai tant peiné,
Tant d'eau, tant d'eau, j'ai transporté.
Si ma mère me l'a donné
Je l'avais bien mérité.
Ma mère le voulait pour elle.
Que je sois maudit si je mens
Je ne dis que la vérité.

Impressionné par la réponse du petit garçon, le ferronnier applaudit. Il décide de lui donner l'aiguille qu'il venait de terminer contre son œuf. L'enfant accepte, prend donc la grande aiguille à manche de bois sous son bras et continue son chemin.
Un peu plus loin, il rencontre des vanniers assis par terre au bord de la route, à côté de grands tas de bois, de tiges et de feuilles de palmiers dattiers. Ils en font des cageots et des paniers de toutes les formes et de toutes les tailles. Le petit garçon reconnaît le grand plateau tressé dont on se sert pour étaler les pains chauds sortant du four, afin qu'ils refroidissent en restant bien gonflés. "Donne-nous ton aiguille", lui crient les vanniers en apercevant l'instrument dans ses petites mains.

Vous donner mon aiguille ?
Jamais vous n'aurez mon aiguille,
Mon aiguille à manche de bois.
Pour l'avoir j'ai donné mon œuf
Au ferronnier qui l'avait façonnée ;
Mon bel œuf, tout lisse et tout blanc,
Pour l'avoir j'ai tant peiné
Tant d'eau, tant d'eau, j'ai transporté.
Si ma mère me l'a donné
Je l'avais bien mérité.
Ma mère le voulait pour elle.
Que je sois maudit si je mens
Je ne dis que la vérité.

Les vanniers approuvent le petit garçon, et lui offrent le grand plateau à pain en échange de son aiguille. Le voilà donc qui reprend la route en sifflotant, avec l'énorme plateau rond en équilibre sur la tête. Il n'a pas fait cent pas, qu'il rencontre des moissonneurs qui lui réclament son plateau.

Vous donner mon plateau tressé ?
Jamais vous n'aurez mon plateau tressé !
Fait de tiges de palmier.
Pour l'avoir j'ai donné l'aiguille
L'aiguille à manche de bois
Aux vanniers qui font des paniers
Pour avoir l'aiguille j'ai donné l'œuf
Au ferronnier qui l'avait façonnée ;
Mon bel œuf, tout lisse et tout blanc,
Pour l'avoir j'ai tant peiné
Tant d'eau, tant d'eau, j'ai transporté.
Si ma mère me l'a donné
Je l'avais bien mérité.
Ma mère le voulait pour elle.
Que je sois maudit si je mens
Je ne dis que la vérité.

Les moissonneurs comprennent les raisons du garçon, et lui donnent un énorme ballot de blé en échange de son plateau. L'enfant repart heureux, sous le poids écrasant de son nouveau chargement. Alors qu'il rêve déjà à ce que dira sa mère en voyant le blé qu'il lui rapporte, il croise sur sa route des bergers. "Donne-nous ce blé", lui disent-ils, "nous en avons besoin."

Vous donner mon blé ?
Mon beau blé couleur de soleil ?
Pour l'avoir j'ai donné mon plateau tressé
Fait de tiges de palmier
Aux paysans qui l'avaient moissonné.
Pour avoir le plateau tressé, j'ai donné l'aiguille,
L'aiguille à manche de bois,
Aux vanniers qui font des paniers.
Pour avoir l'aiguille j'ai donné l'œuf
Au ferronnier qui l'avait façonnée ;
Mon bel œuf, tout lisse et tout blanc,
Pour l'avoir j'ai tant peiné
Tant d'eau, tant d'eau, j'ai transporté.
Si ma mère me l'a donné
Je l'avais bien mérité.
Ma mère le voulait pour elle.
Que je sois maudit si je mens
Je ne dis que la vérité.

Alors, pour avoir le blé, les bergers lui donnent beaucoup de lait qu'il emporte sur son dos dans une immense outre en peau de mouton. Le pauvre garçon réjoui mais épuisé, souffle et peste sous son outre lorsqu'il rencontre un groupe de chameliers conduisant leurs chameaux. "Nous n'avons pas réussi à traire assez de lait aujourd'hui. "Donne-nous celui que tu portes sur ton dos".

Le garçon pose son outre à côté de lui et se met à répondre, encore plus en colère que les autres fois car il est très essoufflé :

Vous donner mon lait ?
Jamais vous n'aurez mon lait !
Bon lait crémeux et savoureux,
Pour l'avoir j'ai donné mon blé,
Mon beau blé couleur de soleil,
Aux bergers qui m'ont supplié.
Pour avoir le blé j'ai donné mon plateau tressé
Fait de tiges de palmier
Aux paysans qui l'avaient moissonné
Pour avoir le plateau tressé j'ai donné l'aiguille
L'aiguille à manche de bois
Aux vanniers qui font des paniers
Pour avoir l'aiguille j'ai donné l'œuf
Au ferronnier qui l'avait façonnée ;
Mon bel œuf, tout lisse et tout blanc,
Pour l'avoir j'ai tant peiné
Tant d'eau, tant d'eau, j'ai transporté.
Si ma mère me l'a donné
Je l'avais bien mérité.
Ma mère le voulait pour elle.
Que je sois maudit si je mens
Je ne dis que la vérité.

Les chameliers, comprenant la valeur de l'outre que le garçon serre fièrement contre lui, proposent en échange un chameau.

Et voilà comment un petit garçon quitta sa maison avec un œuf tout lisse et tout blanc et retourna chez lui sur le dos d'un chameau.

Lu ici
Contes de la Nubie. Fana la discrète, 2001
9 à 12 ans
Textes recueillis et traduits par Ayyam Sureau, racontés par Ibrahim Sha'arawy.
Illustrations de : Jiang Hong Chen
Ed. Neuf de l'Ecole des Loisirs

12.7.11

Simon et l'Œuf

Simon et l'Œuf
Auteur et comédien : Michel Lefebvre
Photo: Alexis Chartrand

Pour les 6 à 12 ans, 50 minutes.
Une création de Youtheatre, Montréal.

L’Homme reçoit, de la part d’un certain Simon, un colis contenant un œuf géant brillant de lumière qui le transporte sur une île fragile et mystérieuse nommée Penumbra. L'île semble d’abord paradisiaque, mais l'Homme constate rapidement les effets néfastes de changements climatiques et de catastrophes environnementales !
Ne sachant toujours pas pourquoi il se retrouve sur cette île, l'Homme s'aperçoit que Penumbra ressemble étrangement à sa planète, la Terre. Il découvre alors l'importance de ne pas abandonner l'espoir d'un monde meilleur.

Illustration extraite du guide pédagogique de Youtheatre.

10.7.11

L'Œuf et Sindbad le Marin

" Les marchands cassèrent l'œuf " (page 147, col. 1)
Sinbad le marin, fable d'origine perse
Illustration de Gustave Doré

Episode du cinquième voyage de Sinbad le marin
Après un moment de repos et de plaisirs et en regardant ses avoirs, Sinbad oublie tous les périls et la souffrance qu'il a vécue et ressent encore le besoin de prendre le large.
En passant près d'une île déserte, l'équipage remarque un gigantesque œuf que Sinbad reconnaît comme étant celui d'un rokh. Curieux, l'équipage débarque, brise l'œuf et finit par faire cuire l'oisillon pour souper. Sinbad reconnaît l'imprudence de leur geste et rappelle son équipage à bord.
Toutefois, les parents de l'œuf rokh rattrapent le navire et le détruisent en lançant de gros rochers qu'ils transportent dans leurs griffes. [...]
Résumé wiki

L'oiseau-éléphant (Aepyornis) de Madagascar a peut-être inspiré le rokh des conteurs perses.

8.7.11

O Ovo Emprestado - Conto tradicional hebraico


Num dia em que os pajens do rei David tomavam refeição juntos, foram-lhes servidos ovos cozidos. Um dos pajens estava mais faminto do que os outros, e consumiu antes a sua parte. Quando os demais começaram a comer, ele ficou com vergonha de estar com o prato vazio, e abordou o colega mais próximo:
— Empreste-me um dos seus ovos.
— Com prazer. Mas desde que me prometa devolvê-lo, quando eu o solicitar, com todos os rendimentos que ele me teria proporcionado.
O pajem não viu inconveniente em assumir esse compromisso, e aceitou. Pôde então adornar com um ovo a desolada solidão do seu prato.
Muito tempo depois, o que havia feito o empréstimo veio cobrá-lo.
— Muito bem — concordou o pajem. — Então eu vou dar-lhe um ovo, pois foi este o empréstimo que me fez.
— Nada disso! Terá de acrescentar os rendimentos que o meu ovo me daria durante todo esse tempo.
Discutiram, mas não havia meio de chegar a um acordo, pois os cálculos de rendimentos geraram números estratosféricos. Decidiram, então, apelar ao julgamento do rei David.
Quando entravam no palácio, encontraram Salomão, filho do rei, que tinha por costume perguntar sempre o objetivo das visitas. Fez a pergunta habitual aos dois jovens, que lhe deram todas as explicações. Salomão disse-lhes:
— Submetam então a vossa querela a meu pai, e depois digam-me qual terá sido a sentença.
Os jovens apresentaram-se a David expuseram o compromisso que havia entre os dois. O compromisso havia sido assumido diante de testemunhas, e foi fácil comprová-lo. Então David sentenciou:
— Assim sendo, a sua obrigação é pagar.
— Nunca me neguei a pagar. O que não concordo é com o volume da dívida que ele me está a cobrar.
Dirigindo-se ao credor, David perguntou:
— Quais são as contas que está a fazer?
— Senhor, no prazo de um ano um ovo produz uma galinha. Essa galinha põe no mínimo vinte ovos, que no fim de um ano se transformam em vinte galinhas. Cada uma delas, por sua vez, põe vinte ovos que geram vinte galinhas, perfazendo quatrocentas. O cálculo se estende a cinco anos, que é o tempo decorrido desde o empréstimo.
— Acho o cálculo bem feito. Neste caso, é isso o que tem a pagar — disse o rei, dirigindo-se ao devedor.
Saiu dali o pajem decepcionado, vendo que de acordo com esses cálculos os rendimentos se transformaram numa dívida absurda. Na saída, Salomão perguntou-lhe:
— Qual foi a sentença do rei?
— Ele disse que tenho de pagar tudo o que o meu companheiro sustenta que lhe devo. Mas nem vejo como o conseguirei, pois a quantia é altíssima.
— Não se desespere por isso. Vou dar-lhe um bom conselho, que resolverá o problema.
— Deus o recompense por isso!
— Faça então o seguinte — e deu-lhe então Salomão as orientações sobre como deveria proceder.
No dia seguinte o pajem sentou-se na berma de uma estrada muito movimentada, com um prato de favas cozidas na mão. Quando se aproximava um grupo de soldados ou pessoas de importância, ele punha-se a escavar a terra, como se estivesse a plantar alguma coisa. Estranhando essa atitude, muitos perguntavam:
— O que está a fazer aí?
— Quero ver se estas favas cozidas conseguem germinar.
— Você deve estar louco! Onde já se viu favas cozidas germinarem!?
— Nada mais natural. Seria mais assombroso alguém conseguir obter uma galinha de um ovo cozido.
O pajem passou todo o dia dando a mesma resposta a todos que o abordavam. Como era de esperar, logo o facto chegou ao conhecimento do rei David, que entendeu a mensagem e ordenou o comparecimento do pajem à sua presença.
— Quem te sugeriu que semeasses favas cozidas?
— Por Deus, senhor! Foi o vosso filho Salomão.
David mandou chamar o príncipe, e perguntou-lhe:
— Como te ocorreu dar ao pajem esse conselho, que resolve tão bem o problema?
— Como poderia o jovem responder por coisas que se baseiam apenas num disparatado pressuposto? Depois que um ovo é colocado em água a ferver, já não pode ser considerado uma galinha em potencial. Um ovo cozido é tão apto para germinar como uma fava cozida. Então, David não podendo negar a evidência, chamou à sua presença os dois contendores, e ordenou ao devedor:
— Devolva ao credor somente um ovo, e tua dívida estará saldada.
Por isso deve-se sempre seguir o provérbio: “Deixa a sentença nas mãos do rei, e a justiça nas mãos do filho”.
Foto: Ovo com o primeiro capítulo do Gênesis escrito em hebraico na casca.
Exposto no Museu de Israel

7.7.11

Œufs pour Jouer

Jeu "La Danse des Œufs" et ses ventes

Fin 2007, les ventes totales du jeu "LA DANSE DES ŒUFS" conçu par Captain Frakas (Roberto Fraga) atteignent 122676 exemplaires.
Jeu édité par HABA depuis fin 2003.

COMMENT JOUER ?
Si vous n'avez pas peur du ridicule en essayant de gagner un maximum d'œufs, coincés sous votre menton, sous les bras ou entre les genoux ... LA DANSE DES ŒUFS est le jeu qu'il vous faut. Il vous rendra vraiment "Oeuforique" !

Et qu'est-ce qu'on trouve dans cette drôle de boîte ? ... 9 œufs en plastique, un œuf en bois, 2 gros dés spéciaux en bois et la règle du jeu.
Et qu'est-ce qu'on fait avec tout ça ? ... Le joueur qui a mangé un œuf à la coque récemment lance le premier les deux dés !
Le dé Rouge indique le type d'action à réaliser le premier pour gagner un œuf.
- Prendre un œuf dans la boîte.
- Prendre un œuf et le lâcher au-dessus de la table pour qu'il rebondisse.
- Attraper le dé Rouge.
- Courir autour de la table et revenir à sa place.
- Crier Cocorico si la poule a le bec ouvert.
- Passer son tour si elle a le bec fermé.
Le dé Blanc indique où on met l'œuf qu'on vient juste de gagner !
- Entre les genoux.
- Dans le creux du coude.
- Sous l'aisselle.
- Où on veut parmi ces 5 endroits (Joker).
- Sous le menton.
- Entre la joue et l'épaule.

Allez voir le jeu ici !



6.7.11

Great Ancient Egyptian Incubator


As far as mass production of eggs and chickens for meat, the ancient Egyptians were probably the first to succeed in this. Hatching ovens have been in use in Egypt for many centuries and continued into the 20th century unchanged from the time of Moses. Each facility produced from 15,000,000 to 20,000,000 chicks a season.
The operators who lived on the premises had no thermometers to help regulate the temperature, but by the "feel" of the air recognized when the fires needed attention. They turned the eggs at regular intervals so they would warm evenly.

There was a relationship between the huge labor force required to build the pyramids and the organization and mass production of food, in this case, chickens.

From The Food Museum Online.

4.7.11

Gestual


The sign for "egg" is made by forming both hands into the letter "h."

Bring your right middle finger down on top of your left.

Move both hands down and out.

Another way to do this sign is to bring the right hand "h" down onto the left hand "h," then lift the right hand up an inch or so while bringing up the left hand a half-inch and then bring both hands down and apart. This second version is soft of like "cracking and egg and then lifting the egg up a bit to break it apart into your pan.

2.7.11

Oldfield's Golden Egg


Barney Oldfield's New Racing Contraption Has Been Christened the "Golden Egg"

Barney Oldfield was a pioneering auto racer. The Golden Egg, also known as the Golden Submarine, was an early effort at streamlining. The car was designed by Fred Offenhauser and Harry A. Miller, who both became famous racing car builders. Except for the skinny tires and spoked wheels, it looks remarkably modern. The "outlets" (windows) were covered with screens because he couldn't get rounded glass. Glass all around could also have been dangerous. 
From the 22-July-1917 New York Tribune.
Source


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